Les cybercriminels usent de différentes manières pour réussir à s’immiscer dans un système afin de subtiliser, modifier ou supprimer des données sensibles. Les internautes représentent des cibles faciles pour ces hackers, car bon nombreux d’entre eux ignorent encore les différentes formes d’attaques criminels qu’ils peuvent subir sur le Net. Si tel est votre cas, trouvez ci-dessous 3 formes de cyberattaques fréquemment utilisées par les hackers.
Le phishing
C’est l’une des techniques d’hameçonnage les plus utilisées par les cybercriminels pour subtiliser les informations personnelles des internautes. Le phishing est également employé par les hackers pour forcer les usagers à effectuer des actions malhonnêtes à leur insu. L’hameçonnage se présente souvent sous la forme d’un e-mail ou d’une fenêtre pop-up vous stipulant que vous avez soi-disant remporté un merveilleux prix à l’occasion d’un tirage au sort auquel vous n’avez pourtant pas participé. En dépit de l’ambiguïté du message, le phishing s’opère depuis un site qui paraît totalement fiable de premier abord. Ce qui rajoute encore plus de crédibilité à la cyberattaque.
Les botnets
Les botnets forment de vastes réseaux composés eux-mêmes de plusieurs milliers de systèmes infectés par des programmes malveillants. Leur utilisation est une autre forme de cyberattaque employée par les hackers pour s’immiscer dans un système afin de dérober des données sensibles. Cette attaque s’effectue par DDoS ou déni de service distribué. Les pirates informatiques lancent des botnets qui vont submerger les bandes passantes des systèmes informatiques ciblés. Cela étant afin de ralentir la capacité de traitement des données de ces derniers pour pouvoir se frayer un passage dans le maillage du système.
Le Spoofing
Le Spoofing est une technique de hacking qui fait appel à l’usurpation d’IP pour tromper un système informatique. Depuis une adresse IP source, le cybercriminel envoie à sa cible des paquets IP émanant d’hôtes fiables et connus. Le hacker ne fournit pas l’IP de son propre appareil, et le système ne peut se référer qu’à l’IP source fourni dans le paquet. Il se peut alors que le système donne au cybercriminel un accès libre aux services que ce dernier cible dans le réseau concerné.